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Cette étude s'inscrit dans le cadre de l'histoire
religieuse de Paris au XVIIe siècle.
A partir d'une recherche sur l'origine d'une statue de la Vierge,
il a paru nécessaire d'élargir l'angle de vue autour
d'elle en remontant jusqu'aux racines du pèlerinage à
laquelle elle est liée, puis en redescendant avec lui le
cours des siècles jusqu'à nous, et en ne se limitant
pas à la confrérie dans son cadre étroitement
parisien, car elle nous vient d'une époque où les
rapports entre Paris et sa banlieue avaient peu de rapport avec
ceux que nous connaissons maintenant.
Ainsi, en essayant d'éclairer à travers elle la sensibilité
religieuse d'une époque par les événements
qui l'ont modelée, a-t-on rendu à l'Histoire un peu
des couleurs de la vie . |

« En l’honneur de la Vierge est planté
cet écrit,
Reine et Dame du ciel, qui ravit tout esprit,
Etant de tous nos maux vers Dieu la Trésorière,
Pour impétrer à tous don de grâce plénière.
C’est pourquoi chacun doit plaisir prendre à
l’aimer,
Et son aide souvent et son nom réclamer.
Car toujours du grand Dieu sa requête est ouïe,
Et des humbles par elle est l’âme réjouie.
Maintenant donc, Lecteur, t’est ici raconté
Ce qu’en ce lieu jadis fut fait par sa bonté…
»
Jacques du Breul |
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Statue de Notre Dame des Vertus
à l'église d'Aubervilliers |
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Le texte que nous venons de lire est
l’introduction à la relation des miracles de Notre Dame
des Vertus, dans le « Théâtre des Antiquités
de Paris » , publié en 1612 par Jacques du Breul.
On ne peut rêver de meilleur guide lorsqu’on
veut faire la connaissance de cette Vierge, aussi discrète
parmi les Parisiens d’aujourd‘hui qu’elle fut célèbre
pour ceux d’autrefois.
Jacques du Breul était moine bénédictin
à l’abbaye de Saint Germain des Prés, et avait
gardé jusque dans son quatrième âge une merveilleuse
curiosité d’esprit, servie par une non moins merveilleuse
agilité de plume.
En sorte que, vers ses quatre vingts ans, il avait décidé
de prendre sa retraite et de ne plus rien publier. Mais, quatre
ans plus tard, considérant qu’il avait plu à
Dieu de le conserver jusque là, il rouvrait son « Théâtre
» pour, nous dit-il, ne pas emporter avec lui ce qu’il
avait appris dans ses chères recherches et qui pourrait être
profitable à ceux qui le liraient.
Il nous explique qu’un de ses amis lui a «
fait ce bien » de lui copier les textes accompagnant les tableaux
des miracles de Notre Dame des Vertus, en l’église
d’Aubervilliers. Il les a insérés intégralement
dans son ouvrage, d’où cette impression de témoignage
en direct qui nous le rend précieux.
Elle est d’ailleurs fondée. Jacques du
Breul est contemporain d’une partie des faits qu’il
relate. Il avait un an lors de la grande procession de 1529. Etant
Parisien, il a dû en entendre beaucoup parler dans son enfance.
Il avait cinquante-quatre ans lors du miracle de 1582.
Peut-être a-t-il connu l’artiste qui a
sculpté la statue de Saint Julien le Pauvre. Elle a sans
doute été réalisée au moment de sa mort
(1614) ou peu de temps après. Mais, s’il avait pu la
voir, il l’aurait grandement appréciée.
Car on le sent amateur d’art, autant que d’inscriptions
et de manuscrits, et il se serait plu à saluer en elle l’interprète
harmonieuse d’une piété très proche de
la sienne. |
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Aubervilliers est mentionné pour
la première fois dans un acte de 1060, sous le nom d’
« Alberti - Villare » . C’était
donc à l’origine un domaine rural appartenant à
un nommé Albert ou Aubert. A l’époque
du premier miracle, le « domaine d’Albert »
était devenu un village prospère, dans la riche plaine
maraîchère du Landy, à proximité de l’antique
chemin processionnel de Paris à Saint Denis, et de celui qu’empruntaient
les pèlerins du Nord de l’Europe pour se rendre à
Saint Jacques de Compostelle.
Il y avait là une chapelle dédiée
à Saint Christophe où les paysans venaient prier devant
une statue de la Vierge. Elle devint église paroissiale aux
alentours de 1300 , sous le double vocable de Saint Christophe et
de Saint Jacques le Majeur.
C’est dans cette église que, pour reprendre
l’expression de Dom du Breul, la Vierge « eut de
son cher Fils le don » d’accomplir des vertus.
« Vertu » s’entend au sens de manifestation
de puissance de vie, donc est synonyme de miracle.
Au cours des siècles, les miracles de Notre
Dame des Vertus ont été aussi nombreux que variés,
certains spectaculaires , d’autres plus discrets.
Parmi les vertus que Jacques du Breul nous a transmises,
j’ai choisi de présenter le miracle fondateur et deux
autres qui convenaient particulièrement à mon propos. |
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Le miracle de la pluie
En mai 1338, un temps brûlant et sec désole
la plaine du Landy.
La Vierge de l’église Saint Christophe
Saint Jacques paraît le dernier recours.
Le second mardi du mois , une jeune fille et un jeune
homme occupés à fleurir son autel , puis deux hommes
appelés par eux, ont la stupeur de constater que le visage
de la statue s’est mis à ruisseler. Du Breul dit qu’il
ruisselle de sueur. D’autres parlent de larmes.
On sonne la cloche. Les villageois accourent, constatent
eux-mêmes le prodige, rendent grâces. Le temps chaud
cède alors providentiellement et des pluies bienfaisantes
sauvent les récoltes.
La Vierge d’Aubervilliers vient d’accomplir
la première de ses vertus. A partir de ce jour elle est vénérée
dans cette plaine sous le nom de Notre Dame des Vertus.
La résurrection du fils du mercier.
A une date non précisée, mais qui paraît
proche de celle du miracle de la pluie, le fils d’un mercier
de Saint Denis se noie dans la Seine.
Le malheureux père prend son fils mort dans ses
bras, se rend avec lui à Aubervilliers et le dépose
sur l’autel de la Vierge des Vertus. L’enfant ressuscite.
La résurrection d’un enfant mort-né
Nous sommes le 21 février 1582. Un enfant est
né mort à Saint Leu Taverny. Les parents éplorés
le font porter à Notre Dame des Vertus. L’église
est pleine. Tous tiennent un cierge. Tous s’agenouillent.
Le bébé ressuscite et tend ses petits bras à
la Vierge.
Le curé le baptise sur le champ, tandis que la
maîtrise d’enfants entonne le « Veni Creator »
et le « Salve Regina ». |
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La période qui s’étend
du miracle de la pluie au 16e siècle est difficile à
connaître , par manque de documents à part le texte de
Jacques du Breul. Par contre, nous pouvons affirmer
que le pèlerinage de Notre Dame des Vertus prit aux 16e et
17e siècles une importance considérable , en liaison
avec des événements marquants de la Réforme et
de la Réforme catholique.
En 1529, sous François Ier, les fidèles
de toutes les paroisses de Paris vinrent en procession demander
son intercession. Leur nombre était si grand et l’éclat
de leurs cierges si intense que cette procession frappa les esprits.
Les habitants de Montlhéry crurent même que Paris brûlait.
C’est d’Aubervilliers qu’en 1590, Henri IV écrivit
sa lettre aux Parisiens assiégés. Trois ans plus tard,
il abjura à Saint Denis.
Dès le retour à la paix, dans le bouillonnement
de foi ardente qui souleva alors la France, un flot de pèlerins
anonymes ou illustres s’écoula entre Paris et le sanctuaire
des Vertus, et l’on ne peut mieux comparer Aubervilliers pour
les contemporains de Jacques du Breul qu’à Lourdes
ou à Fatima.
En 1628, Louis XIII promit solennellement à
Notre Dame des Vertus que, si son armée remportait la victoire
au siège de la Rochelle, il édifierait à Paris
une église dédiée à la Vierge.
Ce fut Notre Dame des Victoires, qu’on peut considérer
comme la « fille » de Notre Dame des Vertus.
Il en posa la premierre pierre en 1629, l’année
où fut signée la « Paix de grâce »
.
Mais les pèlerins les plus impressionnants
sont les grands réformateurs de l’Eglise de France,
en particuliers les fondateurs d’ordres.
Le cardinal de Bérulle et sa cousine la Bienheureuse
Sœur Marie de l’Incarnation établissent un lien
direct entre Notre Dame des Vertus, l’Oratoire installé
à Aubervilliers en 1616 dans la maison de campagne du cardinal
( dont une partie demeure encore à côté de l’église
), et le Carmel .
Il faudrait citer aussi Saint Ignace de Loyola, Saint
Vincent de Paul, familier du culte de Notre Dame des Vertus , Madame
Pollalion, Saint François de Sales , Monsieur Olier, Saint
Jean-Baptiste de la Salle dont l’Institut interdit par le
Parlement fut sauvé après le pèlerinage qu’il
fit à Aubervilliers en 1690 , Saint Jean Eudes , promoteur
de la dévotion au Sacré Coeur de Jésus et au
Cœur de Marie…
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Jacques du Breul nous dit
que les « Merciers du pays » se sont associés pour
fonder une confrérie sous le vocable de Notre Dame, par devoir
de mémoire et reconnaissance pour le miracle de la résurrection
du fils du mercier. Si l’on replace cette indication dans le
contexte, il semble que cette fondation se soit faite dans l’église
d’Aubervilliers , sans doute dès le 14e siècle.
Néanmoins , une tradition veut que le père
de l’enfant ressuscité ait fondé la confrérie
des Merciers de Paris, dans le prieuré de Saint Julien.
Le problème est que la grande confrérie
des Merciers de Paris était trop prestigieuse pour qu’on
ne soit pas bien renseigné à son sujet. Elle a été
fondée au 14e siècle, mais apparemment pas sous le vocable
de Notre Dame, et son siège n’était pas à
Saint Julien le Pauvre. Cependant certains indices
laisseraient penser que la confrérie de Notre Dame des Vertus
s’est installée à Saint Julien sur un terrain
préparé, peut-être par une branche annexe de la
confrérie des Merciers, plus directement en rapport avec la
tradition du miracle,et qui se serait ensuite fondue dans la confrérie
de Notre Dame des Vertus, ou aurait déménagé.
Au début du 17e siècle, la confrérie
de Notre Dame des Vertus apparaît officiellement à
Saint Julien, non comme une confrérie de métier regroupant
les membres d’une corporation, mais comme une confrérie
de dévotion « où toutes personnes sont reçues
». Le texte original de la bulle du pape Paul V qui l’institua
sous cette forme a été conservé ( 1606 –
1617 ).
Les documents évoquent ses « maîtres,
gouverneurs et administrateurs » , ce qui suggère une
confrérie importante,
même si l’on sait par ailleurs qu’elle dut faire
face à des problèmes financiers.
Elle occupait une maison indépendante de l’église,
à la façon de la confrérie des Maçons
et Charpentiers qui avait sa Chambre Saint Blaise, rue Galande .
La sienne était contiguë à la sacristie et a
fait partie des maisons détruites quand on a aménagé
le square
René Viviani.
Les confrères de Notre Dame des Vertus se réunirent
à Saint Julien le Pauvre jusqu’à la Révolution.
Leur réunion la plus importante se tenait le dimanche après
la fête de Notre Dame des Vertus.
Deux autres confréries parisiennes liées
à Notre Dame des Vertus sont attestées à la
même époque, mais les églises qui les accueillaient
ont été démolies. |
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Au début de l’année
1873 , la statue de la Vierge à l’Enfant fut retrouvée
à Saint Julien le Pauvre, sans doute dans une dépendance
qu’on n’avait pas explorée depuis la Révolution.
En principe, on n’avait que l’embarras
du choix pour la rattacher à l’une des confréries
qui avaient leur siège à saint Julien. En réalité,
le choix n’était plausible qu’entre la confrérie
des Maîtres Maçons et Charpentiers , dite encore de
Saint Louis, Saint Blaise et Saint Joseph, et celle de Notre Dame
des Vertus.
Il existe un argument, non décisif, en faveur
de la première. Si on devait lui rendre la statue, elle proviendrait
de sa chapelle Saint Blaise Saint Louis.
Le rattachement à la confrérie de Notre
Dame des Vertus paraît le plus logique puisqu’il s’agit
d’une statue de la Vierge, et le plus vraisemblable dès
qu’on interroge la statue sur son style et son milieu d’origine,
artistique et spirituel.
En effet, on peut l’interpréter comme
un parfait exemple de l’influence du nouveau mysticisme sur
l’art français du début du 17e siècle.
Elle est surtout remarquable par la qualité de
la relation de tendresse que son sculpteur a su établir entre
la Mère et l’Enfant, et qui en fait un peu l’équivalent
occidental d’une Vierge Eléousa. A cause de cela, on
serait tenté de dire que l’artiste qui l’a réalisée
travaillait dans la ligne de la spiritualité du cardinal
de Bérulle et du Carmel.
Elle est d’ailleurs apparentée à
la fois à des œuvres de Jacques Sarazin, l’auteur
du tombeau du cœur du cardinal de Bérulle, et à
plusieurs statues du Carmel de Saint Denis ( fondé en 1625
) , entre autres à la petite statue de Notre Dame des Vertus
en bois doré , datant du 17e siècle , que la fille
de Louis XV , Louise de France , passe pour avoir eue dans sa cellule.
Et sans doute était-elle également très
proche de l’ancienne statue d’Aubervilliers, dans la
mesure où l’on peut s’en faire une idée
d’après les gravures qui nous la présentent
parée comme une Vierge espagnole ou flamande, et aussi dissimulée
sous ses robes somptueuses et ses manteaux de cour , qu’une
icône sous son revêtement d’orfèvrerie.
Toutes ces Vierges sont des variations sur le même
thème, réalisées dans un climat de libre parenté
d’inspiration , à l’intérieur de la famille
spirituelle où s’est développé le culte
de Notre Dame des Vertus. |
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En 1872, l’abbé Laurent Amodru
fut nommé curé de Notre Dame des Vertus, avec la mission
de faire revivre le pèlerinage. Aussitôt il se mit à
la recherche d’une statue de la Vierge digne de remplacer celle
qui avait été brûlée à la Révolution.
Il était l’un des hommes les mieux informés
sur le culte de Notre Dame des Vertus et de Notre Dame des Victoires,
et sur les confréries fondées dans leur sillage.
On est même en droit de se demander si ce n’est
pas lui qui déclencha la campagne de recherches à
Saint Julien le Pauvre.
Quand on lui présenta la statue, il fut frappé
par sa ressemblance avec le modèle idéal qu’il
s’était formé.
Cela suffit-il à le convaincre ? Ou disposait-il
d’informations d’après lesquelles la Vierge de
Saint Julien pouvait être une copie ancienne de la statue
détruite ?
Ce qui est certain, c’est qu’il arrêta
là sa quête, et décida d’installer la
Vierge de Saint Julien le Pauvre sur l’autel d’Aubervilliers.
Il en commanda une réplique à l’identique
à un sculpteur de Paris , Monsieur Raffet, la fit curieusement
peindre en blanc, réactualisa son autel en conciliant l’aménagement
ancien et le dais néogothique, l’entoura d’une
palpitation d’ailes d’angelots et d’anges adorateurs
pour honorer son titre de reine des Anges, et poussa la fidélité
au texte de Jacques du Breul jusqu’à faire inscrire
sur les phylactères des angelots les initiales du verset
du
« Salve Regina » qui avait salué la
résurrection du bébé de 1582.
Tout cela s’enchaîna dans un tel tourbillon
d’activité que la nouvelle statue put être bénie
le second mardi de mai 1873, dans une profusion de lumières
et de fleurs.
Grâce au zèle de l’abbé
Amodru, la Vierge de Saint Julien le Pauvre nous accueille aux deux
extrémités de la route de Paris à Aubervilliers.
Autour des deux statues, le 20e siècle s’est
écoulé. Mais il ne les a pas emportées dans
les remous de ses guerres et de ses grandes mutations.
Elles sont des gardiennes de mémoire , qui nous
rappellent le temps où l’on se rendait à Aubervilliers
en pèlerinage, et où les Parisiens allaient à
pied récolter des grâces dans la plaine des Vertus.
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Aujourd’hui, dans son église
à allure de cathédrale, dans le châtoiement de
ses vitraux relatant les riches heures de son histoire, Notre Dame
des Vertus n’est pas prisonnière de son passé.
En prise directe avec les difficultés de la banlieue,
mais aussi avec ses promesses d’avenir, le sanctuaire des Vertus
continue à être un lieu de foi vivante, grâce à
la Fraternité missionnaire de prêtres qui a la charge
des paroisses d’Aubervilliers et à l’équipe
d’animation pastorale. A l’heure où
l’antique « village d’Albert » s’est
dilaté à l’échelle de la planète
, au cœur de l’arc-en-ciel de ses paroissiens et des fidèles
du diocèse de Saint Denis , Notre Dame des Vertus est devenue,
véritablement, « Notre Dame du Monde ».
D’une façon étonnamment convergente,
quoique par une voie différente, la statue de Notre Dame
des Vertus de Saint Julien le Pauvre nous apparaît , non seulement
comme un signe de force et d’espérance , mais aussi
comme un appel à une ouverture qui va bien au delà
du passage du rite latin au rite grec.
Par son rapprochement avec sa sœur melkite à
la rose, nous pouvons mieux reconnaître en toutes deux le
même sourire de Marie venue des deux rives de l’Eglise,
et répondre à leur commune invitation à élargir
notre prière aux dimensions de
l’Eglise universelle.
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Denise Homerin - Barberon |
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Du Breul ( Dom Jacques ) . Le Théâtre
des Antiquités de Paris. Paris. C.de la Tour. 1612 / 2e édition
: Le Théâtre des Antiquités de Paris. par le
R.P.F.Jacques du Breul, Parisien, religieux de Saint Germain des
Prés. à Paris, par la Société des Imprimeurs.
1639.
Le Calendrier de toutes les Confréries de Paris: tant de
celles de dévotion ( où toutes personnes sont receuës)
que de celles des Nobles Communautés, Marchands, Bourgeois,
Gens de mestier, Artisans & Mécaniques. A Paris.chez
Martin Collet. au Palais en la Galerie des Libraires( I621 ) / 2e
édition: Le Calendrier des Confréries de Paris. par
J.B.Le Masson ( Forésien ). Précédé
d'une introduction avec des notes par l'abbé Valentin Dufour
( Parisien ). Librairies Léon Willem 8 rue de Verneuil et
Paul Daffis 7 rue Guénégaud. 1875.
Le Brun Armand . Saint Julien le Pauvre d'après les historiens
et des documents inédits tirés des archives de l"Assistance
publique. Paris. 1889.
Mgr Nasrallah J. Eglise Saint Julien le Pauvre. 3e édition.
Supplément au Bulletin de la Paroisse Grecque-Catholique
de St Julien le Pauvre. Noël 1972.
Abbé Cottin. Notice sur le pèlerinage en l'église
Notre Dame des Vertus à Aubervilliers. E. de Soye, Imprimeur
( 2 place du Panthéon ). 1865.
Etat des communes à la fin du 19e s publié sous les
auspices du Conseil Général. Aubervilliers. Notice
historique et renseignements administratifs. Montevrain. Imprimerie
typographique de l'école d'Alembert. 1900.
Labois Raymond. Aubervilliers - Les Vertus . Mille ans d'histoire
civile et religieuse . Aubervilliers . Editions R.Labois. 1987.
Dessain Jacques. Aubervilliers à travers les siècles,
des origines à Louis XIV. Aubervilliers . Société
de l'Histoire et de la Vie d'Aubervilliers . 1993.
Notre Dame des Vertus. Aubervilliers. Guide de l'église.
Jubilé An 2000.
Le patrimoine des communes de la Seine-Saint-Denis . Flohic Editions.
Liens :
http://www.people.ku.edu/~asnow/
http://www.people.ku.edu/~asnow/saisle.html
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